Peut-on parler d'une «danse autonome» avec le spectacle de Christine Brodbeck ? Imaginons un vacuum, un vide, à réaliser chaque jour dans un élément qui serait « l'air» à purifier rituellement. Le geste isolé n'a pas sa place, mais bien la relation entre les gestes, leur coordination avant tout. La danse n'est plus un show à consommer mais devient une source de communication, poétique, dans une fourchette allant du rêve d'enfant à la catastrophe.