Kroetz en 1972 lorgne Mlle Rasch à travers la fenêtre d'un HLM de la banlieue d'une ville allemande.
Vivre, c'est agir avec une méticulosité frisant la folie, c'est suivre les mêmes trajectoires dont le seul écart apparent est le concert à la carte.
Kroetz en 1990 est perplexe : des centaines de Mlle Rasch vivent et meurent encore... partout.
C'est abject. C'est triste. Peut-être.